Septembre 2016 : Hyperion

De Dan Simmons

Quand les sept pèlerins se posent à Hypérion, le port spatial offre un spectacle de fin du monde. Des millions de personnes s'entassent derrière les grilles : les habitants de la planète sont sûrs que le gritche va venir les prendre et ils veulent fuir. Mais l'Hégémonie ne veut rien savoir. Une guerre s'annonce et les routes du ciel doivent être dégagées. Et tout ce que le gouvernement a trouvé, c'est d'envoyer les sept pèlerins. La présidente le leur a dit d'emblée : Il est essentiel que les secrets des Tombeaux du Temps soient percés. C'est notre dernière chance. " Mais les pèlerins n'y comprennent rien, et ne se connaissent même pas ! Heureusement, le voyage leur permettra de se rapprocher. Chacun raconte son histoire, et l'on s'aperçoit vite que nul n'a été pris au hasard. Celui qui a fait la sélection, au fil des confidences, parait avoir fait preuve d'une lucidité... diabolique. Et d'une cruauté... raffinée!

De Dan Simmons

Sur Hypérion, le père Hoyt a trouvé son cruciforme. Il le porte imprimé dans sa chair à tout jamais.
Sur Hypérion, le colonel Kassad a rencontré la belle Moneta, hérissée de piquants. Il a vu les Extros empalés, la guerre universelle, la mort de tous les mondes. Il a un compte à régler avec le gritche.
Sur Hypérion, le poète Silenus fut l'un des compagnons du roi Billy le Triste. Il a chanté pour lui l'amer triomphe d'un dieu usurpateur.

Cependant les anciens d'Hypérion sont de retour, ils arrivent à la mer des Hautes Herbes, ils atteindront bientôt les Tombeaux du Temps qui, dit-on, dérivent de l'avenir vers le passé. Comment le croire ? Mais les Tombeaux vont s'ouvrir et le mystère se dissipera. Oyez, bonnes gens, la mort a quelque chose à vous dire !


Lecture abandonnée.
 

Après avoir abandonnée la lecture de "Le meilleur des mondes",
je capitule à nouveau sur un classique.

Les classiques SF ne me conviennent finalement pas.

Pas assez divertissant en ce qui me concerne.


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